Le Che, un mythe à déboulonner
Plus de quarante ans après sa mort, Ernesto Guevara bénéficie toujours d’une image flatteuse. Les historiens montrent pourtant que cette icône mondiale fut un dangereux fanatique. Che Guevara, c’est d’abord
Plus de quarante ans après sa mort, Ernesto Guevara bénéficie toujours d’une image flatteuse. Les historiens montrent pourtant que cette icône mondiale fut un dangereux fanatique. Che Guevara, c’est d’abord
Chantal Delsol aura publié quatre livres en 2008 : un roman et trois essais. En quelques années, cette philosophe « néo-conservatrice » s’est imposée dans le paysage des idées. Il
La notion de « choc des civilisations », popularisée par Huntington, continue à servir de repère, qu’ils y adhèrent ou la réfutent, aux spécialistes des relations internationales. Le 24 décembre
Reproduisant une évolution perceptible dans la société, nombre d’historiens cherchent aujourd’hui à s’affranchir du cadre national. Quitte à fragmenter la mémoire collective. En 1948, 1980, 1987 et 2000, quatre sondages
Jean d’Orléans, duc de Vendôme, se marie. Le fils du comte de Paris veut inventer une nouvelle façon de servir son pays. Ce samedi 2 mai, la ville de Senlis,
Cherchant ses marques par rapport au Canada, confrontée à la mondialisation, la province francophone commémore sa fondation, mais s’interroge sur son avenir. Le 3 juillet 1608, Samuel de Champlain, géographe
Quand les communistes français profitent du rôle joué par l’URSS dans la victoire contre le nazisme pour développer un véritable terrorisme intellectuel. Le 6 juin 1944, les Anglo-américains débarquent en
Ils ont fait, selon leur génération, les barricades de 1968, les manifs étudiantes de 1986 ou les rassemblements anti-Le Pen de 2002. L’été 2003, certains se sont retrouvés à la
L’affaire Battisti, sur laquelle paraît un livre polémique, le confirme : nos penseurs continuent à voir le monde avec des oeillères. La scène se passe au Théâtre de l’OEuvre, le
Cinq mots au Journal officiel, et voici une tempête. D’après ses détracteurs, la loi du 23 février 2005, « portant reconnaissance de la nation envers les rapatriés », ferait l’apologie